Un espace de collaboration différent pour le nouveau siège social de Cohezio
Service 04 mars 2020

Un espace de collaboration différent pour le nouveau siège social de Cohezio

Nouveau nom, nouveau siège social ! Page blanche donc pour Cohezio, dont le siège social a élu domicile à « Madou » depuis le 1er janvier 2020.  En plein cœur de Bruxelles et seulement à un jet de pavé de la rue Royale où se trouvait l’ancien siège social de spmt arista (ndlr : ancien nom de Cohezio), ces nouveaux bureaux représentent bien plus qu’un simple déménagement : un espace de collaboration différent.  

En 2019, ce fut l’effervescence au boulevard Bischoffsheim, au carrefour Madou. Et pour cause : une partie du bâtiment était en chantier en vue d’y installer le nouveau siège social de Cohezio.

Aujourd’hui, dès l’accueil du rez-de-chaussée, trois parcours accueillent les travailleurs pour les visites médicales et les visites psychosociales. Un soin particulier a été apporté à l’atmosphère des lieux, tant pour les clients que pour les travailleurs. Au-delà du simple déménagement, il s’agit en effet aussi d’un projet en lien avec le bien-être au travail, dans la mesure où l’ergonomie et l’embellissement des lieux ont fait l’objet d’une attention toute particulière. Sont intervenus dans le projet Jones Lang LaSalle (JLL), mandaté pour le gros œuvre mais aussi l’entreprise Modyva, partenaire de Cohezio, experte en acoustique et en ergonomie, et ID4Care, bureau d’architecture d’intérieur qui a conseillé l’aménagement des espaces et leur embellissement. Le bois se fait la part belle dans l’aménagement des différents étages, combiné à des couleurs et un éclairage chaleureux, ainsi qu’à l’usage du verre pour encourager à la collaboration entre les différentes équipes.

Ce projet est également le point de départ pour donner à Cohezio une identité visuelle reconnaissable, en phase avec ses valeurs. Un style qui sera progressivement implémenté dans les autres centres, au fur et à mesure de leur rénovation.

Valérie Neysen
Communication Officer

Publié dans Actuascan, mars 2020, n°2.