13 février 2025
Le rapport annuel du service interne de prévention et de protection au travail doit être établi au plus tard le 1er avril 2025 et contient toutes les informations pertinentes sur la sécurité et la santé des travailleurs au sein de l’organisation. Ce rapport est obligatoire pour tous les employeurs, quelle que soit la taille de l’entreprise.
Le rapport annuel du service interne pour la prévention et la protection au travail doit comprendre toutes les informations de l’année écoulée relatives à la sécurité et à la santé des travailleurs de votre entreprise (les statistiques sur les accidents du travail, les actions qui ont été entreprises, la structure de la société, les personnes responsables de la sécurité, des renseignements concernant le service externe de prévention, … ).
L’employeur doit établir le rapport annuel pour le 1er avril 2025 au plus tard. Il doit le tenir à la disposition de l’inspection du Contrôle du bien-être au travail.
C’est au conseiller en prévention qu’il revient d’établir le rapport annuel. )Une réaction que l’on entend souvent est la suivante : « Nous ne disposons pas de service interne de prévention et de protection, et donc, nous ne devons pas établir de rapport…« . C’est une erreur car tout employeur, quelle que soit la taille de son entreprise, doit créer un Service Interne de Prévention et de Protection au Travail (SIPPT). Ce service doit comporter au moins un conseiller en prévention. Dans les entreprises ou organisations de moins de 20 travailleurs, l’employeur peut exercer lui-même la fonction de conseiller en prévention.
Les autorités mettent à disposition des formulaires pour rédiger ce rapport annuel. Vous trouverez le formulaire et une note explicative sur le site du SPF Emploi, Travail et Concertation sociale.
La note explicative contient des consignes relatives à la manière dont certaines données chiffrées doivent être calculées. On vous demandera de compléter des données relatives à l’identification de l’entreprise, à l’organisation du SIPP et, le cas échéant, du comité pour la prévention et la protection au travail, aux accidents du travail et aux accidents sur le chemin du travail, à la sécurité au travail, à la santé et à l’hygiène au travail, à la formation et à l’information du personnel.
Le volontariat est un maillon indispensable de notre société. Depuis 2005, il existe une loi accordant aux volontaires un statut clair et fixant leurs droits, et permettant ainsi de reconnaître et de protéger leur importante contribution.
Ce n’est plus un scoop : nous avons un nouveau gouvernement fédéral et donc aussi un nouvel accord de coalition fédérale. Il s’agit d’ailleurs d’un accord très ambitieux, ayant de nombreuses implications en ce qui concerne la réglementation sur le bien-être au travail.
Les intérimaires jouent un rôle important sur le marché du travail. Il est capital que les entreprises de travail intérimaire et les utilisateurs connaissent leurs responsabilités et leurs obligations afin de garantir un environnement de travail sûr et sain.
La loi de 2022 sur la qualité de l’air (QAI) dans les lieux fermés accessibles au public prévoyait initialement une application progressive mais rapide des exigences et au plus tard, la certification de l’ensemble des espaces.
La loi du 18 mai 2024 a reporté la mise en place obligatoire des exigences sur la qualité de l’air (QAI) au 1er janvier 2027, mais l’application sur une base volontaire est possible depuis ce 1er octobre 2024.
Cohezio est votre meilleur allié dans l’analyse et la mise en place de cette démarche proactive qui dépasse la simple conformité réglementaire, et contribuera significativement à l’amélioration de votre image et votre réputation.
Comprenez ici pourquoi il est important d’anticiper ces mesures.
Vous êtes scolarisé et suivez une formation pour laquelle l’expérience professionnelle est un élément essentiel. Vous travaillez temporairement au sein d’une entreprise ou d’une organisation pour acquérir une expérience pratique. Qui est responsable de votre bien-être et quelles sont vos obligations en tant que stagiaire ?
Les règles en matière de conduite sous l’influence de stupéfiants ont été renforcées le 1er octobre. Cette mesure a également un impact sur les employeurs.
La loi bien-être s’applique à tous les travailleurs, bien qu’il existe des règles supplémentaires pour certaines catégories. Que vous soyez un employeur désireux de remplir ses obligations légales ou un travailleur qui souhaite connaître ses droits, le présent article donne un aperçu clair des différentes catégories spéciales de travailleurs.
La législation relative à l’interdiction de fumer dans les lieux accessibles au public en Belgique a récemment été modifiée afin de mieux protéger la santé publique. Plusieurs modifications étaient déjà entrées en vigueur en avril de cette année. À partir du 31 décembre 2024, d’autres mesures importantes seront adoptées.
La discrimination peut également être présente sur le lieu de travail. Les récentes modifications de la loi sur le bien-être renforcent les règles de protection des victimes et des témoins, abaissant ainsi le seuil de signalement d’une discrimination. L’article ci-dessous clarifie les nouvelles règles et se penche plus particulièrement sur la problématique générale. Qu’est-ce que la discrimination et que peut faire l’employeur pour éviter la discrimination au sein de son entreprise ? Une première étape de la prévention consiste à reconnaître la discrimination. En second lieu, l’employeur peut œuvrer au développement d’une culture d’entreprise plus inclusive. Cohezio peut vous aider et vous conseiller en la matière.
La législation relative à la création, par plusieurs employeurs, d’un service interne commun pour la prévention et la protection au travail (SIPPT) a récemment été modifiée par la publication d’un nouvel Arrêté royal.
Le but est de simplifier la création d’un SIPPT commun. La nouveauté réside dans la distinction qui est désormais opérée entre les petits et les grands services internes communs. La création de ce type de service sera facilitée, en particulier pour les petits services internes communs.